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Le Reporter, la pièce par qui le scandale éclate

Symbole de la pièce du Reporter, représentant un oeil ouvert

Description

Le Reporter fait éclater les scandales. Il ne tue pas directement, mais éclabousse : à l'issue d'un déplacement, il peut alors anéantir une pièce adverse qui se trouve sur l'une des cases ayant un côté commun avec celle qu'il occupe. Il ne prend pas la place de sa victime, et le cadavre de cette dernière n'est pas déplacé.

Déplacement

Le Reporter se déplacement en diagonales, et le long de colonnes libres, sans limitation de distance. Il ne peut pas sauter par dessus des pièces mortes ou vivantes. Il ne peut pas occuper la case centrale du trône, mais peut déclencher un scandale compromettant irrémédiablement un chef au pouvoir (et permettant au Reporter de prétendre au prix Pulitzer). Dans ce cas, le cadavre du chef déchu vient obstruer le trône, rendant impossible toute action gouvernementale, et seule l'action d'un Nécromobile permettra de résorber cette situation.

Il ne peut tuer qu'à l'issue d'un déplacement : une pièce ennemie peut venir à ses côtés sans être éliminée. Le Reporter lors de son tour de jeu devra effectuer un mouvement sur une éventuelle autre case adjacente pour déclencher un scandale.

Si, à l'issue de son déplacement, le Reporter se trouve en contact avec plusieurs pièces ennemies, il devra choisir une victime. Son reportage ne peut impliquer qu'une seule personne (à moins d'être un Reporter de type Fox News, voir variante de règles ci-dessous).

Si le Reporter venait à être déplacé par un Provocateur, il ne peut pas agir sur la pièce contigüe à la case où il aura été parachuté. Le Reporter n'agit donc que de son propre chef, à l'issue de déplacements orchestrés de longue main par les instances dirigeantes de son parti.

Stratégie

Pièce puissante, bénéficiant d'une grande capacité de mouvement grâce à la liberté de la presse, le Reporter adore déclencher des scandales puis s'abriter comme bouclier derrière la cadavre de sa victime compromise.

Variantes de règles

Variante de règles n°6 : liberté de la presse

Par défaut, la presse est contrôlée par les instances de chaque parti, qui viennent lui dicter les discours à tenir, et les scandales et ne pas révéler, limitant ainsi sa crédibilité et ses capacités de nuisance. A la création d'une nouvelle partie, il est possible d'activer une option accordant une liberté totale aux journalistes : ceux-ci peuvent alors éclabousser toutes les pièces adjacentes lors du dévoilement de leurs scandales. Mais on ne peut alors plus réduire la presse au silence, et les reportages peuvent impliquer des pièces de son propre camp...